mercredi 29 avril 2009

Lisboa


Et voilà la fin du périple portugais avec sa capitale, Lisbonne. Le meilleur pour la fin. On a vu de très belles choses ailleurs mais Lisbonne c’est du très très lourd.
Une ville chaude et accueillante qui vous enveloppe par ses belles couleurs et ses jolies petites rues pavées. Ça monte et ça descend pas mal, ça fait les mollets. Mais de temps en temps vous trouvez un petit funiculaire pour escalader une rue ou la redescendre sans se fouler et en profitant d’un véhicule qui vous fait voyager dans le temps tellement il est vieux.
Il y a aussi les jolis trams qui parcourent la ville et vous la font découvrir tranquillement, différemment.
Il y a les immeubles défraîchis et les belles églises. Des places très vivantes et des monuments chargés d’histoire.

C’est une ville où il fait bon flâner, se promener pour profiter de son ambiance.


Pour finir il y a les petits restos, comme partout au Portugal on mange très bien et pour pas cher. On trouve plein de petites cantines où se pressent ouvriers et cadres le midi mais où nous n’étions pas bousculés le soir. Des cantines avec des nappes à carreaux rouges et blancs. Et dans la moindre petite gargote un écran plat retransmettant de manière ininterrompue du foot. Tous les soirs, il y a du foot à la télé. Les soirs où ce n’est pas leur tournoi, il diffuse le championnat français ou espagnol.
Ça n’empêche pas d’apprécier leur bonne cuisine !

mardi 28 avril 2009

Portugal


Alors qu’il pleuvait des trombes d’eau à Toulouse, nous avons eu un grand soleil au Portugal et même quelques coups de soleil. Enfin surtout bien-aimé pour les coups de soleil parce que j’ai eu la bonne idée de garder un sweet avec des manches longues pour éviter d’avoir les avants-bras cramoisis.
Mais bon, il n’est pas tout à fait vrai de dire que nous avons eu grand beau temps pendant tout le séjour. Les deux premiers jours, on a eu quelques averses mais comme on a fait pas mal de route ces jours-là c’était pas trop gênant.

Mais bon, si on parle du début du voyage et de voiture, il faut surtout que je parle d’un certain épisode.

Il est 8h du matin, bien-aimé et moi descendons de l’avion dans la capitale portugaise et cherchons le guichet de notre loueur de voiture. En cherchant nous apercevons des publicités géantes de Georges et une fois n’est pas coutume elle ne sont pas pour « What else ? » mais pour Martini ! Enfin toujours très classe Dr Ross.
Enfin bref, nous finissons par trouver. Et là, il se trouve que bien-aimé n’a pas son permis de conduire, il l’a oublié. C’est assez regrettable parce qu’il était censé nous conduire durant notre périple au Portugal.
Bon, il se trouve que je suis un peu wonder women, non c’est juste que mon porte-monnaie est un sacré bazar qui contient toute ma vie et que par conséquent mon permis de conduire était là.
On a pu me mettre comme conductrice sauf que moi j’étais un peu en flip. Dans le routard ça parlait de la conduite des lisboètes et ça faisait peur, genre vaut mieux pas conduire, sont fous ces lisboètes. Pas le choix, fallait faire avec. Heureusement que le GPS était là pour me guider. Enfin, à la sortie du parking de l’aéroport je me suis retrouvée sur un rond avec au moins quatre voies et une dizaine de sortie, j’en menais pas large.
Et voilà j’ai conduit pendant une semaine un pot de yaourt à travers toutes sortes de routes, autoroutes, chemins de terre, rues pavées large comme à peine la voiture qui descend à pic.

Puis il y a eu les superbes paysages du Sud du Portugal, dans l’Algarve. Des falaises déchiquetées et des plages. Dans les terres, on a visité plein de jolis villages avec parfois des châteaux. Tous les villages ou presque ont des rues pavées et des toutes petites rues, des labyrinthes. Beaucoup d’Eglises, de monastères et des cloîtres comme je n’en avais jamais vu.

lundi 27 avril 2009

Home sweet home


Et voilà, c’est fini les vacances. Fini le soleil portugais. Bonjour ciel gris et pluie toulousaine qui fait des grosses flaques dans ma rue.
Bon j’avoue j’étais assez contente de rentrer, de retrouver mon petit chez moi, « Home sweet home » comme s’est exclamé bien-aimé en ouvrant la porte.
Ça fait du bien de pouvoir poser ses valises plus de deux jours au même endroit, et de pouvoir se sécher les cheveux avec un sèche-cheveux (c’est qui la buse qui a oublié de mettre son sèche-cheveux dans son sac ? c’est bibi).
Il faut dire que la journée du retour fut longue et périlleuse. Pour cause de fête des œillets, impossible de trouver les bus qui mènent à l’aéroport. Une bonne heure à chercher un autre bus qui s’est avéré ne pas aller jusqu’à la destination souhaitée et nous a laissé un peu au milieu de nulle par à un arrêt de bus en nous promettant qu’un bus allant à l’aéroport s’arrêterait là. Nous étions sceptiques mais l’autocar a, effectivement, fini par arriver et quelques minutes plus tard nous entrions dans l’aéroport de Lisbonne.
Comme on avait prévu super large, on a encore eu le temps d’attendre en faisant toutes les boutiques de l’aéroport. Deux heures de vol plus tard, nous voilà à nouveau sur le sol français. Bien sûr ma mère, qui devait venir nous chercher, nous avait oubliés et elle dormait quand je l’ai appelée pour lui rappeler ses obligations.
Finalement à 1h du matin nous avons pu entrer dans le fameux home sweet home. Vous comprenez maintenant le contentement du retour.
Parce que sinon, le Portugal c’était génial, tout super cool et je vous dirai tout demain sur le Portugal et les portugais.

jeudi 16 avril 2009

c'est pas ma faute



Parfois, je suis un peu lente à la détente.
Un exemple ? Je vous en trouve un qui date d’hier. J’étais en train de regarder ce qu’il y a d’intéressant à faire à Lisbonne et voilà que je réalise qu’on partait le surlendemain c’est-à-dire demain. Non mais vraiment des fois faut que je me réveille.
Parce que comme ça, ça paraît simple mais il fallait faire les valises, aller dormir chez mes parents parce que vu l’heure à laquelle décolle notre avion je leur demande pas en plus de venir nous chercher à l’appartement.

Donc quand bien aimé je l’ai assailli d’informations sur l’imminence de notre départ et je devais être un peu hystérique parce qu’il a semblé se sentir agressé par mon accueil.

Mais il faut me comprendre, je venais à peine de défaire ma valise que déjà il faut la refaire. Il faudrait pas trop que je me plaigne de pouvoir partir quand même.
Bon je vous rassure, au Portugal en cette saison il ne fait pas plus chaud qu’en France !

A dans dix jours !

xoxo

mercredi 15 avril 2009

Cinéma


Voilà presque une semaine que le dernier film d’animation d’ Hayao Myazaki est sorti en salle et nous ne l’avions toujours pas vu. Grands admirateurs du travail de ce cinéaste de génie, bien-aimé et moi devions réparer cette bévue.
C’est ce que nous avons fait en nous dirigeant, hier soir, vers notre cinéma préféré.
Il y avait des enfants mais pas que.
C’est vrai que, contrairement à certains de ses précédents films, comme « Princesse Mononoké », « Ponyo sur la falaise » est accessible aux enfants.
Mais j’ai trouvé qu’il convenait également très bien aux grands.
C’est un beau film, poétique.
Il n’a certes pas la profondeur ou la beauté esthétique du « Voyage de Chihiro » (j’avoue, c’est mon préféré) mais ce serait dommage de passer à côté de ce petit bijou de créativité et d’imagination.

mardi 14 avril 2009

Capbreton


Voilà j’ai regagné le navire, c’est à dire le domicile conjugal dans un état de fatigue avancée. Eh oui faire les imbéciles entre filles ça fatigue. Contrairement à beaucoup de gens ce week-end, on a eu la chance de ne pas voir la pluie. Et on a vu du ciel bleu et j’ai même pris des couleurs.
Sinon on a vu des grosses vagues, le vent nous mettre les cheveux dans la figure, plein de surfeurs, un chien dans une voiture qui aboyait à chacun de nos passages, le golf d’Hossegor, et des hordes de gens à la braderie à Hossegor.
Ce dernier point mérite quelques explications. Jusqu’à la semaine dernière, j’ignorais tout de cette braderie qui a lieu tous les ans. Toutes les marques de surf montent leur tente et bradent des produits de la collection du moment.
Durant une petite balade à vélo on est tombé dessus par hasard. Après les blagounettes des gendarmes qui sécurisent le périmètre du style
« mais non vous pouvez pas y aller avec vos vélos » (holala qu’est-ce qu’on se marre) on est allé jeter un œil. Des gens partout avec des énormes sacs remplis de fringues et même des poussettes remplies d’habits.
Notre décision était prise d’y retourner le lendemain de bonne heure pour faire des affaires. Ce fut le cas mais il faut s’armer de patience et de résistance à l’oppression. Il faut faire la queue afin de pouvoir accéder à la tente/hangar et là se battre avec plein de gens pour accéder aux cartons remplis de fringues et fouiller pour trouver des trucs sympas/à sa taille.
H&M un samedi à côté c’est de la gnognote.
C’était le dernier jour et le soleil avait décidé de nous montrer sa jolie frimousse. On en a profité pour aller se poser sur la plage. Sister et moi nous sommes étripées aux cartes pendant que nos deux comparses faisaient la sieste.

dimanche 12 avril 2009

Une fille extraordinaire

Nous nous sommes rencontrées par un ami commun. Eux mêmes se connaissaient depuis leur année Erasmus. Cette année qui ressemble davantage à une fête ininterrompue qu’à une année d’études. J’étais allée voir cet ami pendant son année à l’étranger mais nous ne nous étions pas croisées, hasard de nos agendas. De retour en France, il m’avait souvent parlé d’elle, de ce qu’elle faisait sans que je puisse mettre un visage sur ce nom.
Puis elle était venue sur Paris pour passer l’oral d’un prestigieux concours que j’envisageais également de passer. A cette époque, elle habitait encore notre chère province, du côté des lieux où se déroulent la légende arthurienne. Et notre ami commun avait alors jugé utile de nous présenter l’une à l’autre.
Je me rappelle à peu près clairement notre rencontre, dans ce café proche de mon ancienne université, aux abords de la place du Panthéon, lieu parisien mythique parmi tant d’autres. Un de ces cafés bourgeois où se retrouve les étudiants en droit.
Les préjugés envers les étudiants en droit sont si nombreux que mon ami avait jugé utile de me préciser qu’elle était très sympa, pas du tout dans le moule des filles des facs de droit, ces grandes bourges que nous croisions à Assas et ne présentaient qu’un intérêt limité.
Pourtant lorsque je l’ai vue il me semble qu’elle avait le it bag du moment ou quelque chose s’en rapprochant et je m’en étais étonnée dans mon for intérieur. Nous avions parlé de choses et d’autres, du droit, de ce fameux concours.
Si je l’ai vue ce jour là, je ne l’ai pas vraiment rencontrée. Au sens où nous ne nous sommes pas découvertes. Il faut du temps et de bonnes dispositions pour vraiment voir l’autre. Et ce jour là elle devait être fatigué par le concours qui l’avait pousser dans ses retranchements, dans ses limites de fatigue tant intellectuelle que physique. Et moi j’étais impressionnée parce ce qu’elle venait d’accomplir ou envieuse ou peut être un peu des deux.
Au final, elle n’avait pas été admise mais une autre prestigieuse école avait su reconnaître son talent et après son acceptation elle avait demandé son transfert à Paris. Elle faisait désormais partie de nos petites soirées chez notre ami commun où nous nous serrions par manque de place mais surtout pour nous tenir chaud, nous qui étions tous des provinciaux exilés à Paris.
C’est au cours d’une de ces soirées que j’ai appris qu’elle commençait un stage non loin de là où je débutais un travail à mi-temps. Afin d’éviter de manger seule, je lui avais proposé que nous déjeunions ensemble. Elle avait accepté. Et nos repas du midi suivis généralement d’un café s’étaient multipliés. Seulement à deux ou avec d’autres stagiaires, nous partagions de sympathiquement moments dans la salle bruyante du restaurant Harlay. C’est ainsi que j’ai réellement appris à mieux la connaître. Touche à tout, elle passe avec habileté des prétoires à la composition de chansons, du grattage de sa guitare à l’écriture de récits. Nous avions de nombreux points communs. Chacune dans nos fratries nous sommes l’aînée bien que sa fratrie soit plus conséquente que la mienne. Nous affectionnons le théâtre et le rock parce que No music no life ! Au cours de ces déjeuners j’ai découvert ce que cachait cette petite brune aux yeux pétillants, une énergie incroyable et beaucoup d’idées.
Je l’ai ensuite vue jouer au théâtre. Ce n’était pas le spectacle de fin d’année auquel je m’attendais. C’était bien écrit, justement interprété. Et mes scenettes préférées se sont révélées avoir été écrites par elle, ce qui prouve bien que nous affectionnons le même humour noir.
C’est une fille bourrée de talent qui ira loin et quand nous picolons un peu trop je lui fait signer des autographes pour les revendre une fois qu’elle sera devenue célèbre et ainsi empocher le pactole.
C’est ma manière de te souhaiter un très Joyeux anniversaire !
Loin des yeux près du cœur.

vendredi 10 avril 2009

Maquillage


Je continue sur le mode de la râleuse bien que je ne râle pas, je constate, Oui Môôssieur ! Faudrait pas pousser Mémé dans les orties, c’est pas ma faute si je ne suis pas foutue comme Kate et que tout ne me va pas.
Qu’est-ce qu’on peut ajouter d’autre sur la liste des trucs que je peux pas faire ? C’est pas vraiment un truc que je peux pas faire mais plutôt que lorsque je le fais, je deviens vite empotée.
Mais de quoi est-ce qu’elle nous cause la dame ?
J’y viens, j’y viens.
Je parle de rouge à lèvres. J’ai grandi avec des modèles de femmes fatales telle Marilyn Monroe qui arborait un sourire écarlate, des lèvres couleur rouge sang.Plus récemment j’ai flashé sur Wanda (Lio bande d’incultes !) et j’admire la façon dont ses lèvres sont dessinées, toujours impeccables.
Mais moi lorsque je rougis ma bouche, mon rouge à lèvres ne reste pas que sur ma bouche. Je m’en mets sur les doigts et je dois faire attention pour ne pas tâcher mes vêtements.
Sans parler des baisers que je ne peux pas faire à bien aimé sous peine d’avoir des traces.
C’est même pas lui qui veux m’embrasser et moi qui dit non ça va en mettre partout. C’est lui qui dit non ça va m’en mettre partout. Moi qui pensais le rouge à lèvres rouge sexy, en fait c’est un repoussoir à mec, un pas sur la bouche.
Ce week-end c'est Pâques alors cherchez bien les oeufs dans le jardin, moi je vais à l'océan en abandonnant mari et enfants puisqu'il s'agit d'un week-end entre fiiiiiiiiilles.

jeudi 9 avril 2009

Le boyfriend


Coco Chanel a dit « la mode se démode, le style jamais ».
A la fac, on m’a toujours dit qu’il était de bon ton de commencer un devoir par une citation appropriée.
Et qui de mieux que la grande Coco pour introduire mon propos sur la mode.
Parlons garde-robe, parlons habits, parlons chaussures et autres accessoires de mode indispensables, parlons de la mode.
Il y a plein d’habits que la mode nous apporte et que je sais, même avant de les essayer, que ça ne m’ira pas, que ça me désavantagera plus qu’autre chose.Soyons honnêtes, vu ma morphologie je sais très bien que le port d’un slim me ferait ressembler à un gros tas. Ok c’est rock mais très peu pour moi.
Quant aux épaulettes je les soupçonne de me faire ressembler à une nageuse qui aurait abusé de son entraînement.
Bref, au bout d’un moment j’en ai marre de toutes ces nouveautés qui ne siéent pas à ma personne.J’ai donc voulu tester le jean boyfriend sur moi.
Et quoi de plus simple que d’aller piocher dans la garde-robe de bien-aimé.
J’aurais du me douter en lisant Garance Doré que le jean boyfriend ne m’irait pas non plus parce que mon boyfriend et moi ne jouons pas dans la même catégorie.
Encore une fois, ce n’est pas pour moi. J’ai soit l’air d’un clown soit de quelqu’un qui pourrait faire une pub pour un régime, du genre regardez les fringues que je portais autrefois !

mercredi 8 avril 2009

Bonne fête # 2




Aujourd'hui, j'ai décidé de célébrer ma propre personne ainsi que toutes celles qui ont la chance de porter le même magnifique prénom que moi.


Par conséquent, je m'auto-souhaite une très joyeuse fête mais également bonne fête à toutes les julie.
J'ai été étonné que bien-aimé y pense, il y a même pensé avant de partir travailler et est venue m'embrasser pour la peine.
Et merci à ceux qui y ont pensé.
Ma fête n'est pas une raison pour négliger tous ceux qui portent des prénoms relativement moches.
Je vous souhaite donc, à tous, une excellente journée.
xoxo

mardi 7 avril 2009

Un peu de magie


En me levant ce matin, je n’ai pu que constater le mauvais temps qui sévit au dehors, il fait gris foncé et il pleut sans interruption depuis je ne sais pas quand.
Alors Méliès que fais-tu ? J’ai besoin de toi sur ce coup-là. Qu’est-ce que je vous chante sur Méliès ce matin vous demandez-vous. C’est bien naturel.
Figurez-vous que j’ai entendu une superbe émission sur Georges Méliès, réalisateur et grand faiseur de trucages et de magie.
Or depuis l’écoute de cette émission je constate l’apparition mais surtout la disparition de choses dans mon cadre de vie. Je m’explique, ce matin en me levant je découvre un bouton sur mon bras qui n’y étais pas hier soir.Et après la constatation de l’irruption cutanée au niveau de mon poignée, je me dirige vers la salle de bain. Alors que j’étais en train de … m’afférer, la lumière s’est éteinte.
J’ai émis un grognement venant du plus profond de ma gorge en tentant d’imiter le génial Clint dans le non moins génial « Gran Torino ».
Mon grondement n’a produit aucun effet si ce n’est celui de ma soulager. Et quelques instants plus tard, la lumière est réapparue.
Et hier, à peine ai-je émergé de mon sommeil que je me rend compte que le chèque à mon ordre que j’avais posé sur le bureau a disparu. Enfin il n’a pas seulement disparu un autre chèque à l’ordre de bien-aimé lui a été substitué.
Au final il s’est avéré que ce dernier est à l’origine de l’échange.
Et pour finir, le plus bizarre. Le matin, je me réveille au moyen d’un radio-réveil. Celui-ci s’était enclenché et on pouvait entendre l’interview d’un leadeur politique alors que je somnolais encore. Mon état de semi-inconscience a engendré la venue de ce personnage dans mon rêve, c’était très étrange.
Bref, ça suffit les tours de magie Georges !
Have a nice day.

lundi 6 avril 2009

Cherche chaussures désepérément


Samedi c’était mission à la recherche de la chaussure parfaite.
Une fois n’est pas de coutume, ce n’était pas mes jolis pieds qu’il fallait chausser. Non, c’était ceux de bien-aimé. Depuis que sa dernière paire venait de mourir, il en était réduit à porter des chaussures de skate avec une fille nue à l’intérieur (promis juré c’est vrai) ou plutôt que j’en étais réduite à voir ça. Mais peu importe la mission était là.
Et là je me suis rendue compte de la pauvreté qui s’offre aux hommes quant au choix d’une paire de souliers. L’étendu des possibles est presque infini pour nous, ce qui n’est pas sans me poser quelques difficultés parfois. Mais pour eux c’est vraiment limité. Qu’est-ce qu’on trouve ? des baskets, des mocassins, des chaussures de costard et quelques autres choses indéterminées mais c’est à peu près tout.
Nous nous lançons dans nos recherches et j’essaye de penser à tous les magasins du centre qui vendent des chaussures pour homme. Je pense qu’il y en a peu mais au fur et à mesure de notre avancée nous en découvrons d’autres auxquels je n’avais pas pensés. Dès le début, une paire retient notre attention mais bien aimé veux examiner le champ des possibles avant d’essayer quoi que ce soit. Après un grand tour nous revenons pratiquement à notre point de départ. Il essaye les souliers préalablement repérés et notre vendeuse prend son métier très à cœur. Elle n’est avare ni en conseil ni en patience. Et elle me fait la morale sur les cirages de supermarché qui ne laissent pas respirer le cuir. Rolala la pauvre si elle voyait comment je maltraite mes chaussures. J’adore les chaussures mais il faut être résistant pour épouser mes pieds.
Et voilà, après une bonne heure de recherche, bien-aimé avait acquis une nouvelle paire et moi rien, nada, quelle force de caractère pour résister à mes envies compulsives d’achat de fringues. Je me suis rabattue sur l’achat de délicieux thés. C’est beaucoup plus économiques !

Bonne journée

dimanche 5 avril 2009

Happy Birthday


Je prends ma plume (ou plutôt mon clavier) pour dire en fanfare JoYeUx aNnivErsaIre à mon cher Bruce. Et lui souhaiter beaucoup de bonheur.Bon je lui avais déjà dit mais il n'est toujours pas minuit et donc théoriquement c'est toujours son anniversaire alors j'en profite !
Désolé pour tous ceux que ce message n'intéresse pas !
P.S. : Mme ChA on vous souhaite de très bonnes vacances depuis la ville rose mais pourriez-vous cesser votre agitation ? Depuis que vous êtes arrivée il semblerait que ça se castagne dru !

vendredi 3 avril 2009

L'effet post Suède

Ce matin, vent de panique à l ‘appartement. Je me lève, avec la tête pas dans le bon sens et pas au bon endroit. Je me plante en face de l’ordinateur et veux aller sur le blog et là, pas moyen. Je tape quatre fois mon mot de passe sans que ma session ne veuille s’ouvrir. Je relis mon identifiant en ne comprenant pas, je le relis et le rerelis et au bout de cinq minutes je vois enfin qu’il manque une lettre. Comment j’ai pu ne pas m’en apercevoir avant ? La fatigue mes amis, la fatigue. C’est plus de mon âge ces trucs (pour ceux qui reconnaissent cette phrase bravo).Hier soir des copains sont venus manger et après leur départ, on a tout rangé et voilà, ce matin je suis fatigué. Bon ça en valait la peine, très bonne soirée et j’ai eu (on peut être) ces magnifiques photos.

Sinon je voulais vous parler des choses ramenées de notre week-end. Comme on est des gens bizarres (bien-aimé et moi je veux dire), on a ramené des trucs auxquels on aurait pas vraiment pensé avant le voyage. Comme quoi ? Comme ce magnifique paillasson avec deux rennes dessus. En plus hyper pratique à transporter (non en fait il est rentré dans un des sacs et zou en soute).
Ensuite une reproduction de Joan Miró achetée à la boutique du Moderna Museet, j’ai failli tout acheter dans cette boutique.
Plus les cartes qu’on a ramenées, les magnets et autres porte-clés, notre appart est en mode suédoise ! Ah eh puis j’oubliais les lunettes de chez H&M.
Bref vive la Suède !



Ce qui est encore plus cool c’est que la madre participe à ma tendance scandinave mais pas avec du Ikea. Elle nous a ramené de leur semaine de ski dans les Alpes des bols dans un style tout à fait Suède/Ikea. J’adore.


jeudi 2 avril 2009

Les Franz Ferdinand en concert


Hier soir, petit événement que notre petit groupe attendait avec impatience. Vous l’aurez compris il s’agit du concert des Franz Ferdinand. Evénement parce que nos cinq écossais se font plutôt rares sur scène.
Mais la route vers le bonheur est peuplée d’embûches et aller jusqu’à la salle de concert fut compliqué. Mme ChA avait prévenu son frère depuis des mois de ce concert afin de pouvoir user de la Batmobile pour nous y rendre. Mais bien sûr lui aussi en avait un besoin capital pile ce soir là, pour déménager un pote. Argh.
C’était embêtant car notre carrosse étant en révision, nous n’avions plus de moyen de locomotion non plus. Et ce n’est pas la peine de compter sur Nico sur ce coup puisqu’il n’a toujours pas son permis !
Heureusement bien-aimé s’est inscrit à un système de partage de voiture. C’est comme le Vélib’ mais pour les voitures, une sorte de voitulib’ !
Donc nous voilà ChA, bien-aimé et moi dans la voitulib’ allant chercher (délivrer comme dirait ChA) à son travail parce que ses méchants employeurs ne lui ont pas laissé sa journée. Gros détour pour aller le sauver, embouteillages au passage mais rien ne peut nous arrêter pour aller voir les Franz.

Le concert en lui même ? Très bien quoiqu’un peu court.
Une première partie plutôt pas mal surtout au début, à la fin ça devenait répétitifs avec des sons électroniques, j’aime moins.
Après une assez longue attente (fatigante pour cause de musique pseudo techno) ils sont enfin apparus sur scène, suscitant l’hystérie collective. Ils ont bien mis l’ambiance, ils avaient la patate. Quelques moments de fatigue au milieu mais à la fin regain d’énergie, c’était génial.
Et voilà c’est déjà fini.

mercredi 1 avril 2009

Stockholm # 2

La grasse mat’ suivie du marché et les lessives post retour de vacances me font oublier mes obligations élémentaires à savoir écrire sur ce blog.
J’avais commencé à raconter notre excursion stockholmoise, alors continuons. Ne perdons pas le fil.

Outre les balades, j’ai déjà dit que nous étions allés voir le Palais Royal (enfin le palais historique parce que désormais la famille royale vie dans une autre demeure) et nous avons pu assister à la relève de la garde. Leur tenue n’est pas sensationnelle mais les gardes ont des chaussures incroyables.


En revanche, ce qu'ils ont de génial à Stockholm (et peut être dans le reste de la Suède, mais je ne peux m'avancer sur ce point) ce sont les cabines téléphoniques. Encore plus belles que les anglaises (à mon humble avis), colorées, avec des portes battantes.


Passons à la partie animalière de notre séjour. A ma grande surprise il y avait beaucoup de canards et de cygnes sur le lac qui entoure Stockholm. Moi je pensais qu’ils migraient les canards et ne revenaient que quand il fait chaud mais peut être que pour eux il faisait bon. C’est vrai que presque toute la neige avait fondu et même sur le lac il ne restait plus que quelques blocs de glace à la dérive sur lesquels les cygnes semblaient bien aimer rester.

Et pour finir nous sommes allés au parc de Skansen sur l’île de Djurgården (j’adore ces noms !). Autrefois cette île abritait la réserve de chasse du roi. Aujourd'hui on y trouve non seulement le musées Vasa mais également un musée à ciel ouvert sur la vie suédoise et un zoo.

On y a vu des petites bêtes assez mignones qui semblaient poser devant mon objectifs.


Un renne avec un seul bois qui semblait s'ennuyer mortellement ou bien il dormait, je n'ai pas pas trancher sur ce point.



Un ours, assez jeune et très joueur qui s'amusait à faire l'équilibriste sur le tronc d'un arbre. Malgré son poids je l'ai trouvé bien agile.



Et enfin on a vu une maison avec de la pelouse qui poussait sur le toit. C'est très joli et ça donne envie d'aller se rouler dedans mais je vous rassure je me suis retenue.
Voilà c'est déjà fini pour Stockholm mais bientôt je repars avec bien-aimé pour de nouvelles aventures européennes. Au Portugal la porchaine fois.
xoxo