vendredi 27 février 2009

Ma gym tonic




Comment vous dire, j’adore ranger l’appartement et faire un brin de ménage avec la musique à fond et en sautant partout. Oui je sais c’est ridicule mais le ridicule ne tue pas et c’est tant mieux.
Je saute sur le lit en dansant et en chantant bref je m’époumone et ça fait un bien fou. Sauf qu’hier j’ai senti que ma tête commençait à partir et que les battements de mon cœur s’accéléraient. A ce moment-là je me suis dit qu’il fallait vraiment que je me remette au sport parce que c’est pas possible d’avoir aussi peu de souffle. Puis j’ai réalisé que j’avais donné mon sang la veille, que je n’avais rien bu de la matinée et que si je n’allais pas boire un truc et m’asseoir rapidement, je finirais par tomber par terre. J’ai atteint la bouteille d’eau et une chaise à temps, mes oreilles sifflaient dangereusement. C’est ça la vie des grands sportifs !
Hier soir, bien-aimé a eu la gentillesse de m’amener au cinéma voir le dernier Clint Eastwood. Un grand film, un grand Clint, on a beaucoup aimé et on a même versé des larmes comme souvent avec lui. Je vous recommande donc chaudement ce très beau film.
Et un peu de musique pour sauter partout, sur son lit, au bureau, n’importe où !
Bon week-end à tous.


jeudi 26 février 2009

Du sang !


Hier, c’était la bonne action de la semaine, enfin peut être celle du mois même (ben oui je suis pas mère Térésa) : bien-aimé et moi sommes allés donner notre sang. Je vous parlerai d’hémoglobine mais pas des vampires que j’affectionne, de globules rouges mais pas de Twilight (des vampires qui ne craignent pas le soleil, n’importe quoi !).

Après avoir rempli le questionnaire et eu un entretien avec le médecin, nous sommes allés nous installer pour nous faire sucer le sang. J’y suis allée en premier parce que je l’avais déjà fait auparavant. Mon sang était déjà en train de s’écouler dans la poche prévue à cette effet lorsque l’infirmier a installé bien-aimé. Et là, j’ai eu le malheur de me moquer gentiment de lui puisque c’était sa première fois et qu’il n’avait pas l’air très rassuré. Qu’est-ce que je n’ai pas fait ? L’infirmier m’a fait un petit discours de solidarité masculine contre les femmes, ces méchantes qui martyrise ces gentils messieurs.

Moi, j’amène un donneur de plus et voilà comment on me remercie !Voilà, je vous rassure tout c’est bien passé, on a bien pris notre petite collation puis nous sommes rentrés chez nous.

mercredi 25 février 2009

Rideau


Hier avait lieu le concours de directeur de la protection judiciaire de la jeunesse (la PJJ pour les intimes) et auquel j’ai participé, dans la joie et la bonne humeur.
Première épreuve le matin. Mais hier, j’avais autant envie de me lever que de me doucher avec de l’eau froide, mélangée avec des glaçons. Enfin bon, quand faut y aller faut y aller. Bref, j’étais en retard. J’aurais dû y être pour 9h30 et je suis partie vers 9h15, sachant que sans mon GPS (enfin celui de bien-aimé, rendons à César ce qui est à César) je n’aurai jamais retrouvé le lieu. Comme Stéphanie, c’est le GPS, a mis du temps à me localiser, j’ai commencé par me tromper de route. Après être passée par des endroits que je ne connaissais même pas (c’est ce qu’on appelle des chemins de traverse), je suis arrivée devant la salle polyvalente de Balma à 9h40. Un peu en retard mais rien de grave, l’épreuve commençait à 10h. Lieu improbable pour passer un concours, une salle des fêtes, avec une scène et des énormes rideaux rouges. Et chose merveilleuse, il n’y a pas de chauffage. J’ai gardé mon manteau pendant les trois heures que durait l’épreuve du matin.
Petite pause pour déjeuner. La pause n’étant pas assez longue pour faire l’aller-retour jusque chez moi, j’ai mangé dans ma voiture, sur le parking. Comme c’était sympa ! Enfin je ne me plains pas, il faisait très beau et le soleil avait bien réchauffé ma voiture. A 14h30, on prend les même et on recommence. Enfin, c’était beaucoup moins drôle. Ça devait être de la culture générale mais le sujet était « Dans quelle mesure la contrainte physique privative de liberté peut-elle participer d’un projet éducatif pour les adolescents ?» Affirmer que j’étais peu inspirée c’est peu dire. Mais vu qu’on devait rester deux heures minimum, j’ai rendu une copie. Je compatis avec le correcteur qui va devoir lire mes inepties.

mardi 24 février 2009

Le téléphone


Il y a des fois où le téléphone sonne et l’allégresse vous envahit parce que le nom voire la photo de votre amoureux(se) s’affiche. Cette petite joie qui vous submerge c’est l’espérance de recueillir des mots doux au creux de son oreille. Vous vous étiez parlé peu de temps auparavant par mail, par conséquent il appelle comme ça, pour rien, pour vous.
Allô ? Allô ? Ah c’est toi, je me suis trompé. Et là, tout le petit film imaginé en deux seconde s’effondre, retourne au néant. Il éclate comme un ballon de baudruche. Et le retour à la réalité est douloureux. Ok, à ce soir.

lundi 23 février 2009

Harcèlement


On parle toujours du côté obsessionnel des filles, sur leurs poids, pour qu’on leur dise qu’elles sont belles … je tiens à dire que chez les mecs c’est pas mieux. Lorsque bien aimé a une idée dans la tête, il ne l’a pas ailleurs. Et ça tourne au harcèlement. L’objet de toutes ses pensées en ce moment ? le Mexique. Je m’explique : bien-aimé rêve de partir au Mexique prochainement. Ça a commencé gentiment cette histoire, il m’en parlait en regardant les enchères sur les vols d’un voyagistes. Mais depuis qu’il a trouvé des billets pas chers (LA bonne affaire), j’y ai droit matin midi et soir. Vous y rajouter qu’un de ses collègues lui raconte son voyage à lui et lui montre ses photos sur lesquelles cher et tendre s’extasie, le guide du routard retrouvé chez ses parents et vous avez un petit aperçu du harcèlement que je subis.
Bon d’accord, ça pourrait être pire, il pourrait vouloir m’emmener dans un pays en guerre ou vouloir me faire visiter le Nord-Pas de Calais (désolée mais c’est pas très glamour comme destination).Non c’est vrai, le Mexique ça a l’air super chouette mais bon, on peut pas dire que je roule sur l’or et mes perspectives sont encore floues niveau boulot. Et puis j’ai eu la bonne idée d’aller faire un tour sur le site du Ministère des affaires étrangères (rubrique conseils aux voyageurs). Ça calme. Il est proscrit de faire du change à l’aéroport de Mexico sous peine de se faire détrousser violemment, tout retrait d’argent doit se faire avec une grande précaution, enlèvement fréquents (comme partout), faire attention à la guerre narcotrafiquants/police (maintenant l’armée s'en mêle et du coup la population aussi) et j’en passe. Bon je sais, faut pas croire tout ce qu’on dit mais bon ça refroidit. Heureusement qu’ils ont des plages magnifiques, des ruines de civilisations anciennes, des sombreros.
Il n’empêche que je subis du harcèlement !

jeudi 19 février 2009

Billet du soir espoir


Je culpabilisais de vous laisser sans nouvelles, alors me revoilà. Rapidement. Aujourd’hui, très bonne journée, très remplie.
Récemment je me plaignais que beaucoup de choses se passent à Paris, comme d’habitude et le reste de la France attend. Tout particulièrement, je voulais aller voir un documentaire sur l’excellent groupe Joy Division. N’étant distribué en France que sur six copies, le film ne passait pas à Toulouse, à mon grand désespoir.En allant au cinéma aujourd’hui avec Bruce, j’ai vu que mon cinéma préféré le diffuserait à partir de la fin du mois. Youpi ! Pour tout vous dire, ce midi, on est allé voir « Morse », très beau bien qu’inquiétant film suédois que je vous recommande.

mercredi 18 février 2009

Le facteur sonne toujours deux fois



C'est un fait reconnu et avéré que je ne suis pas toujours douce avec
ce(ux) qui m'entourent. Enfin bref, j'ai réussi à casser mon disque dur externe (je vous épargne les circonstances de ce drame), cadeau de bien-aimé. On a quand même réussi à faire jouer la garantie (je casse tout mais sans faire de trace !) mais ils n'ont pas pu me le réparer et moyennant un petit supplément j'ai eu droit à un nouvel accessoire flambant neuf, encore plus beau que l'ancien.
Lundi, j'attendais donc impatiemment mon petit colis. Bien sûr, il a fallu que le facteur passe pendant que j'étais sous la douche ! Je ferme immédiatement le robinet. Je me sèche sommairement mais lorsque j’essaye d’enfiler mon jean celui-ci reste coincé parce que je suis humide, je vocifère des putains en cascade. Je passe un tee-shirt qui, lui aussi, semble ne pas vouloir se mettre correctement. Je sors en courant de la salle de bain, manquant de peu de rater la marche. Je fonce chercher dans mon sac les clés que je ne trouve pas. Je retourne le contenu de mon sac mais elles n’y sont pas. Je finis par abandonner en me disant que le facteur est probablement parti depuis le temps. Finalement, mes clés étaient dans mon manteau !
Ensuite, je vais chercher l’avis de passage laissé par le facteur qui m’indique qu’il repassera demain entre 8h et 14h (cette plage horaire est tellement grande que je doute que l’information soit utile, enfin bref).


Donc mardi, rebelotte. Je pensais naïvement que le facteur sonnerait comme la veille, aux alentours de 11h. Bien sûr que non. La sonnerie de l’interphone m’a surprise alors que j’étais encore dans ma tenue de nuit. Je ne me ferai pas avoir deux fois. J’ai enfilé mon pantalon et mon sweat par-dessus mon pyjama, je savais où étaient mes clés et j’ai ainsi pu sortir à temps pour voir le facteur. Maintenant j’ai mon nouveau disque dur, qui est trop beau et tout petit soit dit en passant.

mardi 17 février 2009

Biscuits à la cannelle et Cie


Je pense que j’ai traumatisé bien-aimé, il ne signe plus ses mails de son nom (d’un Z qui veut dire Zoro, désolé c’était beaucoup trop tentant pour que je ne cède pas) mais d’un bien-aimé qui sent la copie à plein nez de mes expressions. C’est peut être simplement qu’à force de lire mon passionnant blog, il assimile ses nouveaux noms tels que bien-aimé et cher et tendre.
J’ai réactivé mon mode de la bonne ménagère hier. Après avoir fait la lessive, je me suis lancée dans ma première vraie soupe avec tout plein de bons légumes et j’ai voulu refaire des biscuits à la cannelle. Malheureusement, rien n’a fonctionné comme je voulais. La cocotte s’est mise à fuir et j’ai complètement raté mes biscuits, j’ai dû oublié un ingrédient, mais lequel ? Ça m’apprendra à vouloir faire les recettes au pifomètre et à ne pas noter les recettes. J’ai pourtant fait deux fournées mais la première avait une texture bizarre, un peu molle et dans la seconde, les biscuits étaient trop dur.
P.S. : J’embrasse mon cher Bruce et lui souhaite un très bon rétablissement.

lundi 16 février 2009

Le girl power




Ayant déménagé depuis peu, j’ai demandé à mon gentil facteur de faire suivre mon courrier. Non seulement il s’acquitte de cette tâche de manière intermittente mais en plus il a vendu mes données personnelles. Résultat ? Je reçois tout un tas de publicité à ma nouvelle adresse : de Peugeot à Castorama en passant par Midica, tout le monde m’écrit. Au milieu de ces réclames, j’ai trouvé une petite perle. Un courrier qui m’était adressé ainsi qu’à mon cher « époux ». Le girl power est enfin reconnu, fini les femmes qui doivent porter le nom de leur mari, désormais c’est cher et tendre qui porte mon nom de famille. Merci Castorama ! J’ai bien rigolé en voyant écrit Mr et Mme Julie, bien-aimé aussi d’ailleurs.
De toute façon cette victoire du girl power n'est que justice parce que les filles c'est vachement mieux (et les garçons c'est bouh)

samedi 14 février 2009

La Saint Valentin


Comme le dit si bien Astrée, je suis passée de l’autre côté, certes. Néanmoins, ma désaffection pour cette grandiose fête qu’est la Saint Valentin perdure. Lorsque j’étais célibataire, cette journée me déprimait parce que tous les médias en parlent et qu’il est impossible d’y échapper (à moins de vivre sur la planète Mars), tout te montre du doigt genre mais pourquoi es-tu seule ? Qu’est-ce qui cloche chez toi pour ne pas être en couple ? Et maintenant que je suis en couple, je me dis mais pourquoi donc fêter le fait d’être en couple, dois-je vraiment narguer les 14 millions de célibataires français ? Dois-je vraiment payer des menus plus chers dans les restaurants sous prétexte que c’est la St Valentin ?

Remontons un peu en arrière dans l’Histoire et voyons qui était ce Valentin qui nous enquiquine tant. Etant un Saint, il fut forcément un martyr. On retrouve la trace de deux Valentin, Valentin de Rome et Valentin de Terni. Je les soupçonne d’être une seule et même personne puisque l’un était moine et l’autre prêtre mais ils furent tous les deux mis à mort par l’empereur Claude II le Gothique (sympa le nom !). Bref, cet empereur, au nom fort sympathique, avait décrété l’interdiction des mariages. Mais cet imbécile de Valentin continua de célébrer les mariages, en secret désormais, et lorsque le Gothique en eu vent, il le fit mettre dans une geôle. Alors attention là ça devient super niais. Valentin tombe amoureux de la fille du geôlier qui est aveugle et lui décrit le monde tel qu’il le voit. Un jour elle retrouva la vue et l’empereur, en apprenant cela, le mit à mort. Il fut roué de coups par les légionnaires romains puis décapité.
Et juste pour information, l’amour romantique étant une invention somme toute assez récente, la St Valentin célébrait autrefois non l’amour romantique mais l’amour physique, c’est-à-dire la fertilité. Et théoriquement, aujourd’hui est à la fois la fête des amoureux et celle de l’amitié. Je préfère ça. Alors bonne fête mes amis et continuez de me lire.

xoxo

vendredi 13 février 2009

Les magazines féminins (et moi)

Cette semaine je suis allée m’acheter des magazines pour réfléchir du style « Sciences humaines » (si si c’est vrai) et lorsque je suis chez le marchand de journaux je ne peux m’empêcher d'acquérir de la presse féminine. Oui cela fait partie de mes péchés mignons. En plus, je soupçonne bien-aimé de les lire lorsque j’ai le dos tourné. J’adore leur caractère irréel. Grosso modo, y a trois thèmes qui reviennent en boucle, à savoir le sexe, la mode et les régimes (maigrissez et complexez jeunes femmes qui ne ressemblaient pas aux anorexiques top models). Cette semaine pas de régime conseillé, le printemps et les maillots de bain sont trop éloignés pour que nos kilogrammes en trop nous inquiètent.
Du coup, on se rabat sur les deux premiers sujets. Pour la mode, l’article c’était de trouver son look. Donc si vous avez entre 300 et 1000 euros tout va bien, sinon vous pouvez aller vous rhabiller. Et puis si vous avez envie de ressembler à un épouvantail c’est encore mieux. Les articles sur le sexe sont vraiment et de loin les plus drôles, « comment rebooster sa vie sexuelle », « Plan hot pour hiver froid », « le jour où j’ai osé … » (désolé les titres sont le fruit de mon imagination, cependant ils ressemblent étrangement à la réalité), j’en passe et des meilleurs. Des positions toujours plus innovantes, des idées toujours plus excitantes, le plaisir toujours plus fort. Peut être que certains mettent en pratique mais moi ça me fait juste terriblement marrer et je me demande si le seul but est d’effrayer les gens normaux et de les complexer (quoi ?? vous ne faites pas l’amour 10 fois par semaine dans 36 positions différentes ??!!!)
Bon j’arrête de m’insurger pour rien.

P.S. : J-1 pour mon billet spécial Saint Valentin

jeudi 12 février 2009

La déception


Si je n’ai toujours pas écrit ce n’est pas parce que je suis traumatisée par mon concert puisqu’il n’a pas eu lieu. Le concert a été annulé. Pourquoi ? Pendant que le groupe précédent était en train de faire les balances, les tenanciers du bar se sont rendus compte qu’un concert fait du bruit (oh la nouvelle), trop de bruit à leur goût. Par conséquent, ils ont annulé les concerts d’hier soir ainsi que tous les autres concerts de métal qu’ils avaient organisés.
Pour éviter de nous retrouver dans la même situation que tous les soirs avec dvd et tisane, bien-aimé et moi sommes allés à la soirée de promo de Mme ChA. Le thème était « Chic et chantier ». J’espère que ce thème vous étonne, je me demande comment on peut choisir un truc pareil. Le thème explique pourquoi ChA portait un gilet jaune réfléchissant. Elle le portait avec classe (si c’est possible). Et si je n’ai pas écrit aujourd’hui c’est parce que j’étais en excursion à Montauban. J’ai fait ma tournée familiale, papy, mamie, marraine, tonton et cousin plus un copain de mon père. Mais je vous épargnerai ce récit qui n’a d’intérêt que pour eux et moi. Et je suis aussi allée acheter des cadeaux de Noël avec ma madre pour parce que dans ma famille on n’a pas encore fini de fêter la naissance du petit Jésus. Le dernier échange de cadeaux aura lieu samedi ce qui nous évitera à cher et tendre et à moi de se creuser la tête pour éviter la Saint-Valentin (je vous reparlerai de cette fête très bientôt).

mercredi 11 février 2009

N'ayez pas peur


Bonne pâte disais-je, bonne pâte. Cette affirmation mérite d’être nuancée. J’imagine bien-aimé se redresser sur sa chaise plein d’indignation et hocher la tête de haut en bas en guise de protestation. Il est vrai qu’il a préparé le dîner d’hier soir et a sorti la poubelle ce matin.
Néanmoins, le problème n’est pas là. Autrefois, c’est moi qui le traînais à mes expos, l’emmenais voir les films de ma sélection, des petits films distribués dans deux salles en France ou encore tellement vieux que la bobine ressemblait à du gruyère.
Récemment, cet état des choses a changé. Le premier indice : ma venue à Angoulême. Expérience sympathique quoique harassante d’un univers que je ne connaissais pas. Et ce soir, je vais de nouveau faire connaissance avec un univers dont j’ignore tout. L’image du jour a dû vous mettre sur la piste. Il s’agit du milieu du métal. Mon entrée en matière ne date pas d’hier, bien-aimé m’a souvent fait écouter cette musique dans son carrosse bien que ma réceptivité soit parfois limitée.
Cher et tendre connaît un jeune homme fort sympathique que je ne citerai pas, batteur (la classe) dans un groupe de métal à ses heures perdues (personne n’est parfait). Un jour d’inconscience totale, je déclare à bien-aimé que j’aimerais bien assister à un concert de son groupe. Ce qui devait se produire arriva, se produisant ce soir dans un bar nous irons les applaudir.
Si j’ai tout bien compris aux explications reçues, ils vont jouer du black métal et le groupe suivant du death métal (apparemment le death métal consiste uniquement en des hurlements). En tout état de cause, la soirée de ce soir va être intéressante d’un point de vue sociologique je pense. J’emmène mon appareil photo et je prendrai des notes dans ma tête.

La suite au prochain épisode …

mardi 10 février 2009

Les petis hommes vieux


Une remarque que cher et tendre m’a glissée hier soir m’a mise la puce à l’oreille. Nous étions tranquillement installés sur notre canapé et regardions la deuxième saison de « Six feet under ». Vous rajouter au décor une tisane dans la main de chacun des membres du couple (avant, i.e. notre passage à Lourdes, j’étais la seule à en boire mais désormais bien-aimé s’est également converti aux infusions comme quoi, les miracles se produisent), un plaid sur moi parce qu’il est bien connu que je suis une grande frileuse et vous obtenez une parfaite illustration de notre soirée d’hier. Le problème c’est que nos soirées ressemblent souvent à ça. La conclusion s’impose d’elle même : nous sommes un couple de vieux. La situation pourrait être pire, nous pourrions être des petits vieux sans goût qui regardent la télé-réalité à longueur de soirée. A la place, nous sommes tenus en haleine par de grandes séries.


Pour remédier à cette aberrante situation, cette semaine nous offre de quoi festoyer allègrement : la soirée organisée par la promo de Mme ChA, un concert, si le cœur lui en dit Nico fêtera son anniversaire et enfin un repas samedi soir (je vous rassure, pas de Saint-Valentin mais je reviendrai là-dessus).
Cependant, une question se pose et s’impose : à notre grand âge, aurons-nous la force de nous rendre à toutes ces réjouissances ?L’interrogation demeure …

lundi 9 février 2009

Les bronzés font du ski


On peut dire que bien-aimé est une bonne pâte, il s’embarque sans broncher dans un week-end avec ma famille. C’est vrai que ma famille est géniale ou folle, au choix. Nous sommes donc partis avec ma sœur et ma cousine pour passer deux petits jours chez mon oncle et ma tante et pour skier. La météo n’était pourtant pas de notre côté. Nous avons bravé les intempéries pour nous rendre sur les pistes et skier au moins pendant quelques heures. Tatie qui était en version pilote de rallye nous a conduit jusqu’à la navette sans que nous ayons besoin de mettre les chaînes.
Au moment d’acheter les forfaits : aujourd’hui c’est tarif unique, y a pas de visibilité, c’est pas sécurisé (c’est rassurant). Nous avons skié sous la neige puis est venu le moment d’aller nous réchauffer en buvant un chocolat chaud mais, arrivé à la taverne, nous avions tous envie d’un bon plat de frites. Plus de frites ! Plus de frites, l’horreur. Il restait de la tartiflette. Or, quand on connaît un peu notre famille, on sait que ni ma sœur ni moi ne mangeons de fromage. Sœur s’est retrouvé à manger de la salade et moi j’ai commandé une crème caramel (au praliné finalement) ! Après manger (si on peut appeler ça un repas) nous avons formé deux groupes et le mien a subi des bourrasques de vents qui faisaient voler la neige. sœur a perdu un ski parce qu’ils étaient trop grands. Dit comme ça, la journée n’a pas l’air géniale mais on a tous apprécié ces quelques heures.
Bref, nous avons décidé de rentrer à la maison. Les garçons ont pu regarder le match et nous ? je ne sais plus. On a super bien mangé le soir, il faut dire que sœur et moi étions affamées. Et le lendemain rebelotte avec un super brunch !De retour à l’appartement hier soir, bien-aimé et moi nous précipitons sur les ordinateurs. Ah ces geeks ! Il essaye de me virer du sien mais comme j’avais pris le soin d’allumer le sien dès notre arrivée, je lui dis de prendre le mien. On décide de se poser un peu mais voilà que mon côté obscur (celui de la ménagère) se réveille et je me mets à ranger puis je râle sur bien-aimé qui n’en fout pas une. En fait, il était en mode repos.

And the winner is ...


... le numéro 6. Chouette-man et moi-même remportons le grand prix. Youpi. Je ne sais pas ce que nous y gagnons mais peu importe.

vendredi 6 février 2009

Encore des photos et un petit sondage

6
7

8


9
Il semble que ma cousine ait apprécié la photo des geeks devant Batman. Cela m'a donné une petite idée. Je rajoute donc quelques photos, pas toujours flatteuses, et vous propose de voter pour votre préférer (via les commentaires ou par mail pour ceux qui sont pas doués) et lundi je vous dirai qui a gagné ce grand jeu. Vous avez le choix entre toutes les photos du festival que j'ai publiées hier et aujourd'hui.
A vos marques... prêt... feu... Go !!!!!
P.S. : Je viens de rajouter des petits numéros à côté des photos afin que vous puissiez plus facilement m'indiquer votre choix


jeudi 5 février 2009

Petits désagréments de la vie quotidienne


Il y a beaucoup d’avantages à vivre en couple. Il y a ceux qui sont évidents : éviter la solitude (ben oui manger tout seul c’est pas tous les jours rigolo) ou encore diviser le montant de son loyer par deux. Il y a ceux qui sont moins évidents mais non moins utiles comme se faire réchauffer les pieds le soir parce puisqu’il paraît que mes pieds sont
« cadavériques ».
Pourtant, la vie de couple et de surcroît la vie à deux ne sont pas toujours toutes roses. La preuve par l’exemple.
Commençons par les compliments que mal-aimé me prodiguent parfois. Aujourd’hui c’était grandiose. J’avais un sweat à capuche blanc. Ça commence bien, il me dit que le blanc me va bien. Que comme je suis toute blanche (j’ai un teint de porcelaine en vrai), j’ai l’air moins pâlote (c’est pas moi qui le dit c’est lui) moins malade. Et voilà comment un compliment se transforme en une critique.
Dans un autre registre, il y a les inconvénients de partager son lit avec quelqu’un. Bien sûr il existe des côtés positifs mais aujourd’hui, je parle des désagréments. Donc avant-hier, bien-aimé ne s’était toujours pas remis de notre harassant week-end à Angoulême. Sur les coups de 18h, il a eu l’excellente idée de faire une sieste pour récupérer un peu. Il n’est réapparu que vers 21h !!! Par conséquent, il a eu du mal à s’endormir après. Et bien sûr c’est moi qui en ai fait les frais puisque monsieur n’arrêtait pas de tourner et de se retourner. Son remue-ménage m’a empêchée de passer une bonne nuit. Merci à toi l’ami !

Angoulême en images

1
2

3


4



5




mercredi 4 février 2009

Compte rendu (suite et fin)

J'espère que vous êtes en forme parce que le récit du dernier jour à Angoulême est ... conséquent !
Le dimanche, nous sommes partis un peu plus tôt, ils étaient tous impatients d’aller attendre dans le froid. En réalité, j’étais moi aussi toute excitée. En effet il fallait arriver tôt car vers 10h au stand de Dargaud des tickets allaient être distribués pour les dédicaces de Manu Larcenet. Certains dessinateurs, sont tellement demandés que les éditeurs organisent des tirages au sort pour déterminer quels fans auront le droit d’avoir une dédicace. Et ce matin-là il y avait tirage au sort pour Larcenet et Lauffray. Bien-aimé a, pour sa part, pris place dans la file pour les tickets de Lauffray, toujours chez Dargaud. Dans ma file, j’étais avec Chouette-man mais ni lui ni moi n’avons gagné. Quelle tristesse ! Du coup je suis allée attendre pour me faire dédicacer « De Gaulle à la plage » par Ferry. J’avais un peu moins d’une dizaine de personnes devant moi. C’est allé assez vite. Je lui ai demandé de me dessiner tante Yvonne.
Ferry : « En maillot de bain ? » Moi : « Euh oui » Lui : « Enfin, habillée quoi » Moi « Oui. Parce que tante Yvonne toute nue ça m’intéresse pas trop ». Ça l’a bien fait marrer. On a discuté du dessin de tante Yvonne et il a fait une drôle de tête lorsque je l’ai pris en photo. Il était plutôt marrant. J’aime beaucoup ma dédicace, il m’a même dit que j’avais le droit de la colorier (il m’a prise pour une fille de huit ans je crois).
Hormis la dédicace de Larcenet que je n’ai pas pu avoir, j’ai eu tout ce que je voulais. J’ai regardé qui était là et j’ai vu que Tripp, un des deux dessinateurs du « Magasin général » était là, et je sais que Guillaume aime cette BD et qu’il l’avait amené à Angoulême. Je suis allée lui en parler, j’ai pris la BD dans la voiture et je me suis placée dans la file d’attente. Bon, il faut savoir que Tripp ne fait pas de dessin en guise de dédicace, il écrit un petit mot. Je me suis sentie très bête lorsqu’il m’a demandée si je l’avais lue. Il m’a engueulée en m’expliquant que c’était une très bonne BD, une BD pour fille. J’ai essayé de me rattraper en lui expliquant qu’elle faisait partie des BD que je compte lire prochainement. Mais bon, il était quand même sympa.
Après le déjeuner, encore dans la pelouse, bien-aimé m’a encore embauché pour une dédicace. J’ai attendu pour M. Demarez qui est sensible aux jolies filles d’après Marjo et Joris. C’était encore chez Soleil (ceux qui font aussi boîte de nuit) et comme ils font surtout de l’heroic fantasy, il y a très peu de filles et du coup dans la file d’attente j’ai eu droit à plein de sourires. Demarez est super sympa. Je l’avais entendu dire avant qu’on lui demandait plus trop de personnage d’Ulysse alors je lui ai réclamé ce héros et il était plutôt content. On a parlé de Toulouse, de Paris, de théâtre (il se trouve qu’il est décorateur à la comédie française). Bref quand il m’a demandé pour qui étais la dédicace, il a été un peu étonné que je lui dise un nom de garçon, je l’ai éclairé en lui disant que j’étais une transsexuelle.
Après, je suis partie me balader dans la ville. J’ai voulu retourner voir Pénélope mais elle n’était plus à son stand. Du coup j’ai continué mon chemin sur des routes encore inexplorées. J’ai dû aller trop loin parce que j’ai mis 35 minutes à revenir et que j’ai vu tous les remparts de la ville.
Lorsque j’ai enfin réussi à rejoindre bien-aimé mes pieds étaient en compote. Je lui ai volé son petit siège qui lui sert à attendre, on aurait dit un zombie. Résultat, il est allé dans une autre file d’attente et m’a encore fait dédicacer une BD pour lui. Là c’était Tota. Bien-aimé voulait le personnage principal Page. Je demande ça puis Tota me demande si j’ai lu Lanfeust. Je lui explique que c’est la dédicace n’est pas pour moi et que le destinataire de la dédicace a en effet lu « Lanfeust ». Tota s’étonne alors que je ne râle pas alors que cher et tendre demande une fille en dédicace. Primo, je suis trop fatiguée pour broncher et deuxio, ce n’est définitivement pas mon style d’être jalouse. Je lui explique pourquoi je suis fatiguée, à cause de ma longue marche et il me raconte que lui aussi a un très mauvais sens de l’orientation, c’est pour ça qu’il se met à côté de Varanda (autre dessinateur de chez Soleil, il est assez incroyable avec ses cheveux longs grisonnant et ses chaussures de gothique) qui lui sert de boussole. Tota se moque de Varanda qui se demande pourquoi il reste à côté de lui. Tota m’a dit qu’il fallait que je me mette à la Bd et je lui expliquais que c’était le cas mais que je préférais la littérature, il m’a alors traitée d’intello ! Puis nous avons parlé de dessins-animés parce que la veille ils avaient eu droit à une avant-première du dernier Myazaki (les petits veinards) ce qui nous a conduit à énumérer nos préférés de ce grand cinéaste. Enfin c’était sympa de papoter avec ses deux messieurs. Je suis juste un peu déçue d’avoir oser leur parler facilement et d’être restée bouche bée devant Pénélope et Arthur de Pins. Ça doit être l’émotion. Je ferai mieux la prochaine fois. Après ça, je suis allée me reposer dans la voiture en attendant que Marjo et Joris qui sont des acharnés de la dédicace finissent les leurs. Ils sont restés presque jusqu’à la fermeture.
Notre carrosse a alors fait demi-tour, direction Toulouse. Chouette-man a recommencé les « yaourtsongs » à mon grand désespoir. Le pire c’est que bien aimé l’accompagnait dans le saccage des chansons. On a fait une pause sur l’autoroute pour manger puis j’ai pris les rennes pour que cher et tendre puisse se reposer. Une fois maître de la conduite, je me suis transformée en chanteuse endiablée. J’ai massacré les oreilles de mes acolytes. Le carrosse a déposé chacun à son château et nous avons enfin pu nous coucher vers minuit.

mardi 3 février 2009

Compte rendu


Vendredi, après ma dernière épreuve, après avoir bouclé la valise et surtout après que bien-aimé a sélectionné les BD à prendre pour le festival, nous sommes montés à bord de notre carrosse afin d’aller chercher nos compagnons d’aventure. Les participants du week-end étaient donc : Marjo, Joris, Patrice (dit Chouette-man), bien-aimé et votre blogueuse préférée. Dès le départ le carrosse se retrouve coincé dans les embouteillages. La sortie des abords de Toulouse est longue et nous sommes serrés à l’arrière du carrosse.
Rapidement, je me suis demandée ce que je faisais au milieu de ces fans de BD. Ils parlent que d’auteurs que je ne connais pas, des maisons d’édition (de BD sinon c’est pas drôle) et des prochaines sorties. En fait, je me suis retrouvée dans la peau de bien-aimé lorsque je le traîne à des soirées de juriste. Je me suis sentie un peu seule. Je me suis sentie d’autant plus seule que j’étais fatiguée et que Chouette-man a massacré toutes les chansons qui passaient à la radio en les revisitant à la « yaourtsong » (tu imites la chanson mais aucun son ne doit ressembler à un mot). Le trajet m’a paru assez long.
Vers 22h nous sommes enfin arrivés chez la sœur de bien-aimé, qui nous a accueillis pour le week-end. Elle a une très belle maison qu’elle et son copain ont retapée. Et comme la maison est grande nous avions chacun notre chambre. Après avoir encore parlé de BD (moi assez peu) nous sommes allés nous coucher.

Samedi, nous nous sommes levés vers 8h et un peu avant 9h nous avons décollé direction le centre ville d’Angoulême. Nous avons eu de la chance il ne faisait pas trop froid. Assez rapidement j’ai quitté le reste de la bande parce que nous n’allions pas dans les mêmes bulles. Petite explication sur l’organisation du festival : les stands sont sous des chapiteaux appelés « bulles » qui se situent dans plusieurs endroits de la ville. Je voulais absolument une dédicace de Pénélope Bagieu (connue en partie grâce à son blog Penelope Jolicoeur), j’ai donc commencé par elle. Grand exploit je ne me suis pas perdue pour aller à ma bulle. Et grâce à mon pass (que le beau-frère de bien-aimé nous avait dégoté pour tous les deux), j’ai pu rentrer avant le reste du public. C’était plutôt cool de se balader comme ça pendant que les exposants s’installaient. Je suis allée au stand de Warrum (l’éditeur de Pénélope) et j’ai attendu en lisant. Quand enfin quelqu’un est arrivé, j’ai appris que Pénélope serait dans une autre bulle. J’ai repris mon plan et ne me suis pas perdue (youpi). J’ai attendu pas mal de temps puisqu’elle n’est arrivée qu’un peu après 11h. J’étais un peu intimidée et je lui ai peu parlé. Elle était gentille et m’a fait une très jolie dédicace. Je suis ensuite allée voir bien-aimé qui était dans une file d’attente.
A midi (même si c’était sans doute plus tard), nous sommes allés acheter des sandwichs et nous avons mangé dans l’herbe. Puis nous sommes retournés à nos dédicaces. Je me suis mise à faire la queue vers 14h au stand de fluide glacial alors qu’Arthur de Pins n’était prévu qu’à 15h. J’ai sympathisé avec les gens à côté de moi. Mais quand mon petit dessinateur est arrivé, le chaos est arrivé, une dizaine de personnes m’est passée devant et surtout une mère de famille a utilisé ses deux filles pour essayer de me doubler. Elle les a fait asseoir juste à côté de moi comme si de rien étais. Vu le temps d’attente elle a fini par s’en aller alors qu’elle avait doublé les deux tiers de la file. Au vu du nombre de personnes, les dédicaces étaient assez rapides pour que tout le monde puisse en avoir une. J’ai ensuite retrouvé bien-aimé et j’ai fait la queue à sa place pour une dédicace. C’était au stand Soleil. Soleil c’est un gros éditeur et leur stand se transforme le soir en boîte de nuit. La journée tous les murs sont noirs, il y a des spots qui vous tuent les yeux. En revanche c’est sympa il passe des vidéos sur de grands écrans (le SAV d’Omar et Fred, des clips). Puis, nous nous sommes baladés et nous sommes allés dans le bulle où se trouvent les éditeurs indépendants. C’est en nous baladant que nous avons croisé Marjane Satrapi, enfin heureusement que j’étais là sinon cher et tendre ne l’aurait même pas vue. C’est aussi à ce moment là que nous avons aperçu Boule et Bill ainsi que Bob l’éponge.
Toute la petite bande s’est retrouvée dans les rues d’Angoulême et nous avons chanté, couru, nous nous sommes poursuivi. Et puis nous avons fini par aller au fast-food afin de nous ravitailler. Il devait être 19h30 et deux heures après nous étions tous couchés tellement c’est épuisant d’attendre dans les files d’attentes, de piétiner.

Prochainement : la suite ...

lundi 2 février 2009

Le festival de la BD


Halala mes amis quel week-end, non mais quel week-end ! Je suis épuisée par ces deux jours Angoulême. Hier, nous sommes rentrés un peu avant minuit et du coup ce matin j’ai dormi jusqu’à 10h30 pour récupérer. Je vous rassure je n’ai pas passé ma journée à dormir. J’ai fait du grand rangement. C’est pas le printemps mais j’ai quand même rangé et réorganisé la penderie (réminiscence de la Bree Van de Kamp qui sommeille en moi), j’ai lancé des lessives, j’ai passé l’aspirateur. Tout ça m’a pris un bon moment.


A Angoulême, j’ai découvert un univers que je ne connaissais pas, celui des geeks de la BD, celui des gars (je dis gars parce qu’environ 80% des gens que j’ai vus en train de faire la queue étaient des mecs) qui sont près à attendre plusieurs heures pour avoir une dédicace. J’ai découvert une joli petite ville (je ne l’ai pas trouvé si petite lorsque je me suis perdue en allant me balader un peu trop loin). J’ai croisé des célébrités : le présentateur télé des Z’amours, Adeline Blondieau (l’ex de Johnny et grande actrice de « Sous le soleil »), Boule et Bill, Bob l’éponge mais aussi Marjane Satrapi et tous ceux que j’ai eu en dédicace ! Je vous raconterai plus en détail au cours des prochains billets.