mercredi 25 février 2009

Rideau


Hier avait lieu le concours de directeur de la protection judiciaire de la jeunesse (la PJJ pour les intimes) et auquel j’ai participé, dans la joie et la bonne humeur.
Première épreuve le matin. Mais hier, j’avais autant envie de me lever que de me doucher avec de l’eau froide, mélangée avec des glaçons. Enfin bon, quand faut y aller faut y aller. Bref, j’étais en retard. J’aurais dû y être pour 9h30 et je suis partie vers 9h15, sachant que sans mon GPS (enfin celui de bien-aimé, rendons à César ce qui est à César) je n’aurai jamais retrouvé le lieu. Comme Stéphanie, c’est le GPS, a mis du temps à me localiser, j’ai commencé par me tromper de route. Après être passée par des endroits que je ne connaissais même pas (c’est ce qu’on appelle des chemins de traverse), je suis arrivée devant la salle polyvalente de Balma à 9h40. Un peu en retard mais rien de grave, l’épreuve commençait à 10h. Lieu improbable pour passer un concours, une salle des fêtes, avec une scène et des énormes rideaux rouges. Et chose merveilleuse, il n’y a pas de chauffage. J’ai gardé mon manteau pendant les trois heures que durait l’épreuve du matin.
Petite pause pour déjeuner. La pause n’étant pas assez longue pour faire l’aller-retour jusque chez moi, j’ai mangé dans ma voiture, sur le parking. Comme c’était sympa ! Enfin je ne me plains pas, il faisait très beau et le soleil avait bien réchauffé ma voiture. A 14h30, on prend les même et on recommence. Enfin, c’était beaucoup moins drôle. Ça devait être de la culture générale mais le sujet était « Dans quelle mesure la contrainte physique privative de liberté peut-elle participer d’un projet éducatif pour les adolescents ?» Affirmer que j’étais peu inspirée c’est peu dire. Mais vu qu’on devait rester deux heures minimum, j’ai rendu une copie. Je compatis avec le correcteur qui va devoir lire mes inepties.

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