vendredi 9 janvier 2009

La peur de la page blanche



Commencer un blog c'est facile mais le continuer l'est moins. Le magazine générique (magazine oh combien excellent sur les séries et la culture série que je vous engage à feuilleter parce qu'il apporte une réelle réflexion et plein de références littéraires ou cinématographiques) consacrait, dans son numéro 18, un article sur le fantasme de la page blanche. Cette peur, que l'on retrouve dans de nombreuses séries, me hante désormais. Mon article d'hier ayant reçu un assez bon accueil, je crains de ne pas réussir à réitérer l’exploit aujourd’hui et les jours suivants. Cependant, je ne suis pas du genre à faiblir devant l'ennemi (ou en l'ocucrence la difficulté).

Je m’attèle donc à mon œuvre, ma ligne directrice étant le récit de ma vie à deux.
Ma vie à deux n’a commencé, hier, qu’après 17h, heure du retour au sein du domicile conjugal de cher et tendre.
Pleine d'entrain après la création de mon blog et mon premier post, j'ai proposé à mon bien-aimé, dans ma grande mansuétude, de l'accompagner faire les soldes. Vous ne me croirez peut-être pas mais c'est vraiment très étrange d'aller faire les boutiques et de se retrouver dans un magasin rempli d'hommes. J’ai l’habitude de voir Zara rempli de femmes plus ou moins hystériques à l’idée de trouer le petit haut de leur rêve soldé mais Célio rempli à ras bord de testostérone c’est … déconcertant. D’abord, on a l’impression qu’ils sont perdus ces représentants du sexe masculin. Ils ne sont pas comme nous, ils n’ont pas un but et un seul : étriper tout ce qui se trouve sur leur chemin ; ils errent sans se rendre compte que leur gabarit dans ces magasins aux tailles réduites les rend dangereux. Oui je l’avoue j’avais peur de me prendre des coups d’épaule. Mais rien de cela n’est arrivé. La seule personne que j’ai eu envie d’étriper était la femme qui faisait la queue derrière nous à la caisse et qui regardait les vêtements exposés à ma droite en me poussant sans même s’excuser. Enfin voilà. Et je vous rassure tout de suite, chouchou a trouvé quelque chose qui lui plaisait (vous vous en doutiez, j’ai laissé un indice en disant qu’on se trouvait dans la queue pour la caisse !) : une écharpe. Comme quoi, je ne me suis pas fait bousculer pour rien. En revanche, il faudra revenir une autre fois pour le bonnet !

La suite au prochain épisode …

2 commentaires:

  1. Ha j'ai trouvé enfin comment mettre des commentaires sans avoir de compte google ou je ne sais quoi.

    Bref très chouette ce petit blog, la vie de J en live j'aime ^^

    Tu as l'air de très bien t'en sortir pour le moment :)

    Gros bisous du 8ème étage du Mont Blanc!

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  2. Oui j'ai modifié les paramètres pour que tout le monde puisse laisser un commentaire, même sans compte gmail.
    Pour le moment je m'en sors mais pour la suite rien n'est moins sûr !

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